Sexe et genre sont des déterminants essentiels de notre santé, pourtant la prise de conscience de leur importance est encore incomplète.
En découlent des connaissances lacunaires sur l’impact du sexe et du genre. S’y ajoute la persistance d’idées reçues, tant pour les professionnels que pour les usagers.
La recherche pourrait aller plus loin dans l’exploration de l’influence de ces facteurs pour accroître les connaissances disponibles.
La formation des professionnels pourrait aussi davantage les prendre en compte pour les intégrer aux pratiques, à hauteur de leurs effets sur la santé.
Après avoir exposé ces enjeux dans son rapport « Sexe, genre et santé », la HAS réunit le 28 juin prochain différents acteurs de la recherche et de la formation pour imaginer des perspectives d’évolution.