Le rapport rappelle que les populations les plus précaires sont les plus exposées aux risques environnementaux, et sont celles qui accèdent le plus difficilement aux soins et aux actions de prévention sanitaire. Il formule des propositions pour améliorer les connaissances pour des décisions publiques adaptées et rapide; faire la santé-environnement un objectif central et transversal des politiques publiques; enfin, pour donner le pouvoir d’action aux collectivités territoriales et aux citoyen·nes.