Depuis plusieurs décennies, ce sont les idées néolibérales qui ont inspiré les réformes des systèmes de santé. Cela se traduit par un retrait de l’État, censé réduire ses actions au profit d’acteurs privés, soi-disant plus efficaces. On a ainsi de plus en plus laissé le service privé et la pratique privée de la médecine se développer, y compris au sein des hôpitaux publics.