Les résultats des dernières élections en France – et la montée de l’extrême-droite – doivent interroger les acteurs de santé publique. D’une part, une participation plus explicite au débat politique est légitime, sur la base des connaissances acquises. D’autre part, il est possible de renforcer des pratiques de santé publique qui luttent contre le sentiment d’abandon, et rendent plus lisible l’action des services publics contre les inégalités de santé.
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