L’association dévoile les résultats de son baromètre. Il pointe notamment que près d’un·e Français·e sur 4 estime que le droit de choisir son·sa médecin ou son établissement de santé n’est plus garanti, la nécessité de renforcer les droits des personnes malades dans les DROM, l’augmentation de la confrontation à des pénuries médicaments, ou encore, que dans 15% des situations de fin de vie, les souhaits et préférences des personnes concernées ne sont pas prises en compte.