L’association s’inquiète de l’emploi de plus en plus récurrent dans l’espace politique et médiatique d’une rhétorique de culpabilisation des usager·ères quant à leur accès et utilisation des droits et prestations sociales. A noter qu’à peine plus d’un·e usager·ère sur deux éligibles à la Complémentaire santé solidaire (CSS) en bénéficie réellement, entrainant ruptures de parcours et cumul des vulnérabilités et précarités.