A l’occasion de la Journée internationale de lutte contre l’homophobie, la transphobie et la biphobie, Santé publique France consacré un numéro de son Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) à la stigmatisation des minorités sexuelles et démontre que c’est là un déterminant majeur de leur état de santé.
Sommaire
- L’hétéronormativité : un risque pour la santé mentale
- Santé mentale des adultes selon l’orientation sexuelle et violences subues
- Violences homophobes subies par les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes en 2019
- Connaissance et acceptation de l’identification sexuelle par les parents : quelles incidences sur la détresse psychologique des femmes cisgenres lesbiennes et bisexuelles ?
- Violences familiales subies par les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes lors du premier confinement lié à l’épidémie de la Covid-19
- Encore trop peu d’études françaises rendent compte de la transphobie et de ses conséquences en santé publique