La médiatisation dans les médias traditionnels joue un rôle important dans la visibilité des QPV, de même que l’implication sur le réseau social Twitter d’ « experts négatifs » tweetant sur de nombreux quartiers lors des pics de surmédiatisation. Ces pics sont caractérisés par un rétrécissement des sujets abordés au profit de ceux liés à l’insécurité, mais aussi par un changement des acteurs postant ces tweets. Les comptes des médias sont nettement plus actifs dans ce contexte et contribuent à rendre moins visibles les tweets liés à la vie associative, culturelle ou institutionnelle des quartiers.