Avec plus d’un·e Francilien·ne sur cinq vivant dans un logement suroccupé, contre un·e Français·e sur dix ailleurs en métropole, l’Île-de-France se distingue par des conditions de logement plus difficiles pour ses habitant·es. La plupart du temps il s’agit de situations subies avec un impact direct sur la qualité de vie et le bien-être des personnes, et sur leur parcours de vie. La suroccupation apparaît ainsi d’autant plus forte que les ménages du territoire sont pauvres.