À partir d’un exemple de dispositif de lutte contre le non-recours mis en œuvre par un CCAS, l’étude met en lumière les effets et limites d’une action publique centrée sur l’aide à l’hébergement dont l’objectif est d’agir sur les ruptures de parcours de jeunes âgés de 18 à 25 ans. Elle souligne l’importance du logement dans les processus d’autonomisation et montre de quelle façon la précarité résidentielle déstabilise les parcours d’insertion.