Des chercheur·es reviennent sur la façon dont la société française et ses représentant·es politiques se sont positionnés vis-à-vis des « banlieues », des « cités », des « quartiers populaires », termes désignant ces grands ensembles d’habitations nées aux marges des métropoles françaises après-guerre. Leurs réflexions balaient le traitement médiatique de ces lieux et leurs habitant·es, leur politisation et les tensions qui les traversent.