À partir des enjeux soulevés par une recherche soutenue par la Défenseure des droits retraçant le procès des cheminots immigrés contre la SNCF et de la présentation d’autres mobilisations collectives, cette journée d’étude entendait contribuer à engager une réflexion partagée sur l’avenir du droit de la non-discrimination, au prisme de sa capacité à agir au niveau collectif et correctif, et non plus simplement individuel et réparateur. Cela pose la reconnaissance en droit des discriminations systémiques.