Suite aux constats présentés dans ce rapport, il semble fondamental de pouvoir défendre l’accès à la santé
et protéger les habitant·es des lieux de vies informels, non pas en argumentant d’une exposition nocive pour
expulser mais en améliorant les conditions sanitaires, en déployant de la médiation en santé, un accès facilité aux
services de santé, une sensibilisation et formation des professionnels, et un accompagnement au relogement
des habitant·es, au combien nécessaire pour casser la spirale de la réinstallation dans des lieux de vies exposés aux
nuisances environnementales.
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